Question écrite : La sécurisation des aménagements pour les modes actifs sur et aux abords du pont des Grands-Malades (N905) à Namur
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Question écrite
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Région Wallonne
Le pont des Grands-Malades enjambe la Meuse à Namur pour permettre la liaison entre Beez et Jambes. Une écluse et une centrale hydroélectrique, avec passerelle d’accès, sont également implantées à son pied ainsi qu’un chemin de halage à proximité.
Ce pont routier permet d’interconnecter plusieurs voies de circulation : du côté de Jambes, le pont débouche sur un rond-point le connectant à la N90 (avenue Prince de Liège) tandis que du côté de Beez, il s’ouvre sur un système complexe d’échangeur avec la bretelle d’accès de et vers la N959 qui conduit à Huy et dessert la rive gauche de la Meuse, une seconde bretelle assurant la liaison avec la chaussée de Hannut (N80) et l’accès à la E411 et une troisième pour entrer dans Namur principalement via l’avenue Albert 1er (N80).
Fort fréquenté, notamment aux heures de pointe, par le trafic des véhicules, le pont est également utilisé par les cyclistes au quotidien ou amateurs, ainsi que les piétons et randonneurs (arrêt(s) de bus des TEC, proximité du CHR, accès aux rochers des Grands Malades, etc.).
L’enchevêtrement de bretelles et l’augmentation du trafic compliquent la mobilité active, qui n’avait pas réellement été prise en compte, du moins de la même façon, à l’époque de sa mise en service.
N’est-il pas utile de prévoir, sur ce tronçon, un projet de sécurisation pour les modes actifs ?