Monsieur le Ministre-Président, avec la proximité du sommet entre l’Union
européenne et la Communauté des États latino-américains et des Caraïbes, prévu les 17 et 18 juillet, la tension monte sur le traité MERCOSUR. Greenpeace a mené une action de protestation sur le bâtiment du Berlaymont le 25 mai dernier.

Au cours du sommet des Amériques, la Commission souhaiterait pouvoir annoncer des progrès, si ce n’est la finalisation des négociations. L’opposition au MERCOSUR reste forte. Fait notable, la France a émis l’idée, le 5 juin, de prendre le temps et surtout « d’intégrer l’Accord de Paris comme clause essentielle, le règlement sur la déforestation, sur le respect des clauses miroir sur les normes sanitaires et environnementales françaises, avec des dispositifs de sanction si tout cela n’est pas appliqué ».
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