Monsieur le Ministre, les journées diplomatiques, qualifiées de « journées wallonnes », sont organisées tous les deux ans par l’AWEx et WBI. Annulées en 2020 à cause de la pandémie, elles ont eu lieu en septembre 2022 et ont réuni les délégués généraux et les divers et nombreux agents de liaison scientifique, agents de liaison académique et culturelle, ALAC, mais également les chargés de projets et les conseillers
économiques et commerciaux, les CEC. Un peu plus d’une centaine de personnes y auraient participé.

Si des rencontres entre agents actifs à l’international sont sans doute utiles et nécessaires, je m’interroge sur plusieurs aspects de ces rencontres. D’une part, je m’interroge sur la pertinence de réunir ces personnes de divers réseaux sectoriels en mêlant dans un seul programme les aspects commerciaux et économiques et les diplomates de WBI, voire d’autres personnes de WBI, mais aussi sur le coût, voire le surcoût, d’une telle opération. Pouvez-vous motiver ces deux aspects ? Quel bilan pouvez-vous nous faire de ces rencontres ? Quelles
en sont les retombées ? Quelle serait la plus-value d’y associer les délégués généraux WBI, les ALS et les ALAC, notamment vu l’annonce des réseaux sectoriels qui vient d’être approuvée par les gouvernements ?
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