Madame la Ministre, une nouvelle antenne SOS Viol a ouvert à Namur récemment. C’est une excellente chose quand on sait que 48 % des appels à SOS Viol viennent de notre Région. J’avais plusieurs questions quant à cette initiative. Comment le lieu a-t-il été choisi ? L’antenne s’est installée au même endroit qu’un planning familial, ce qui peut sembler logique, mais qui peut aussi poser question. Ne risque-t-il pas d’y avoir confusion pour le public ? Comment l’accueil sera-t-il assuré, avec toute la pertinence attendue ? Comment
vous êtes-vous assurée que les victimes viennent bien recevoir l’aide qu’elles sont venues chercher ? Les équipes vont-elles collaborer ? Qu’avez-vous prévu comme communication pour la sensibilisation à ce sujet, en parallèle de l’ouverture – où là, il y a eu des rendus presse ? À quel public cette communication est-elle adressée ? Dans quel lieu ? Via quels canaux et avec quel budget ?