Ecolo réaffirme son unité
Réuni ce vendredi 21 novembre, le Conseil de fédération d’Ecolo a réaffirmé avec clarté l’unité du mouvement écologiste et sa volonté d’avancer collectivement. Le Conseil a pris acte de la remise de mandat des co-présidents fédéraux, Marie Lecocq et Samuel Cogolati.
À l’issue des échanges, les délégués ont tenu à saluer l’engagement et le travail considérable de Marie Lecocq et Samuel Cogolati, qui ont porté avec détermination le projet écologiste, social et démocratique du parti. Leur contribution restera un jalon important du chemin collectif parcouru par Ecolo.
Un processus démocratique clair pour une nouvelle co-présidence
Conformément aux statuts du parti, le Conseil de fédération a validé le calendrier menant à l’élection de la prochaine co-présidence fédérale :
- Ouverture des candidatures : 24/11/2025
- Clôture des candidatures : 25/01/2026 à minuit
- Campagne interne et débats : du 26/01/26 jusqu’à fin février
- Élection lors d’une assemblée générale : fin février jusqu’au 15 mars.
Ce calendrier garantit un processus démocratique transparent, participatif et ancré dans l’ADN du mouvement écologiste.
Une équipe de transition pour assurer la continuité
Dans l’attente de l’élection de la nouvelle co-présidence, le Conseil de fédération a établi une organisation permettant d’assurer la continuité politique et opérationnelle du parti. Durant cette période, le Conseil de fédération charge une équipe de transition composée des cheffes et chef de groupe (Sarah Schlitz, Zakia Khattabi, Saskia Bricmont, Bénédicte Linard, Stéphane Hazée) d’assurer la continuité de l’action politique en lieu et place des co-présidents.
Les équipes opérationnelles poursuivent pleinement leurs missions, afin de garantir la continuité des actions politiques, de communication et d’organisation du parti.
Un cap collectif réaffirmé
Ecolo entend mener cette phase transitoire avec sérénité, cohérence et unité. Le parti continuera de porter ses priorités écologistes, sociales et démocratiques, en restant tourné vers les citoyennes et citoyens, et en maintenant un cap clair au service de l’intérêt général.
Cette transition s’inscrit dans une dynamique collective : un mouvement rassemblé, prêt à ouvrir une nouvelle étape et à poursuivre son travail pour une société plus juste et plus durable.